Des marques perpétuelles....

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 9 ans

Des marques perpétuelles....

Une autre journée, se terminait, et Pierre, achevait de nettoyer la cuisine et de desservir le repas de sa Maîtresse. Cette dernière, avait manifester le désir de sortir pour la soirée, et avait ordonné à Pierre de lui préparer son bain,et de sortir les vêtements qu'elle porterait pour cette occasion.

Le téléphone sonna et Madame répondit, car Pierre n'avait pas l'autorisation de prendre les appels.

Pierre entendit sa Maîtresse, parler à voix basse, et il ne rechercha pas à savoir ce qu'elle disait à son interlocuteur.

L'appel terminé, Madame vint voir son esclave et lui annonça, qu'elle l'amènerait avec elle à son rendez-vous.

" Tu vas descendre au donjon, et te préparer,"dit-elle. " Je vais aller te rejoindre, et je te choisirai tes vêtements moi-même."

" Maîtresse, dois-je me laver, auparavant?"

" Tu prends une douche, et tu te laves les cheveux. Ensuite, tu te brosse bien les dents, et tu te rases , si cela est nécessaire, à toi de voir."

"Pendant ce temps , je m'habille."

Pierre fit sa toilette comme Maîtresse Éloïse le lui avait ordonné , et attendit sagement l'arrivée de Madame.

Elle portait une jupe de cuir noir, ouverte sur la cuisse, des escarpins de la même couleur , et un bustier serré , qui lui relevait les seins et la poitrine. Par dessus le tout, une blouse de tulle transparent, d'un rouge éclatant, recouvrait ses épaules et son corps. elle avait noué les deux pans de la blouse ensemble devant elle, et avait enfilé de longs gants de latex rouge ,eux aussi.

Une longue natte de cheveux derrière la tête et un maquillage , façon théatre, lui donnait une allure sévère et dure.

Une large ceinture de cuir noir , décorée de centaines de rivets argent, venait achevé son accoutrement.

" Comment me trouve tu?" Lui demanda -t-elle.

" Maîtresse, cela vous donne un allure plutôt sévère, mais cela vous va bien," répondit-il poliment.

" À toi , maintenant, voyons ce qui t'irait bien."

Elle se dirigea vers la pièce qui lui servait à garder les équipements, et elle ouvrit un placard, qui contenait une panoplie de vêtements , des plus extravagants au plus contraignants.

" Voilà , ce que tu vas porter."

Elle jeta sur le sol aux pieds de son esclave, un corset de cuir noir, une jupette en paillette dorées, des bas de nylon , des jarretelles, des escarpins avec des talons vertigineux, et une blouse de satin du même rouge tapageur que la sienne. Puis elle lui entra de f o r c e sur son crâne, une perruque blonde toute décoiffée.

"Prends cela , et vas t' habiller, pendant que je vais finir de me préparer. "

" Mais Maîtresse , je ne peux pas mettre cela pour sortir, ce sont des vêtements de femme."

" Figure-toi donc , que je m'en étais aperçue, " répondit-elle d'une voix irritée.

" Pour ce soir tu seras ma petite pute, et c'est ce que j'ai décidé que tu porterais pour cette occasion, et je ne veux plus en entendre parler."

" J'espère que je me suis bien fait comprendre?"

" Oui Maîtresse , " répondit Pierre, en baissant la tête.

Il ramassa les vêtements, et alla s'asseoir à même le sol du donjon et s'habilla sans plus dire un mot.

Maîtresse Éloïse, revint vers lui, et lui demanda de se lever.

Elle vérifia si les jarretelles étaient bien installées, lui ajusta la perruque , afin qu'il ait le visage bien dégagé,

et lui ordonna de s'asseoir sur une chaise, et avec du rouge pour les lèvres , de la poudre, du mascarat , etc. Elle le maquilla outrageusement , elle lui mit un rouge à lèvres provoquant, et exagéra sur la poudre , l'ombre et le fard à paupière.

Puis pour terminer, elle lui peignit les ongles avec un cutex rouge sanguignolant. Enfin, elle le parfuma de la tête aux pieds.

Elle dit alors." Regarde toi dans la glace, et admire la belle petite putain que tu es devenue."

Pierre se regarda dans le miroir et vit en effet la transformation, et il pâlit de honte. Il revint vers sa Maîtresse, et cette dernière qui l'observait lui dit, " arrète toi là, que je te regarde. "

" Il manque quelque chose, ça ne vas pas."

" Ha oui ! Je sais, les seins, " dit-elle.

" Enlève ta blouse , je vais remédier à cela."

Elle retourna chercher , une brassière, et des prothèses en caoutchouc mousse, et avec lui fixa sur le torse des bandes adhésives, qui fixerait les faux seins sur sa poitrine.

Elle lui ordonna de ne pas bouger , pendant toute la durée de l'opération. Ensuite elle vérifia si le tout était bien fixé , et elle lui mit la brassière qui maintiendrait les prothèses bien en place.

" Tu peux remettre ta blouse maintenant."

Cette fois, Pierre ressemblait vraiment à une pute ,et les seins qui pointaient vers l'avant , lui donnait un air vulgaire et provoquant tout à la fois.

" Enfin," dit Maîtresse Éloïse, tu ferais un tabac , si tu faisais la "main"."

" Vas chercher, la laisse, mon fouet, prends aussi les menottes et ta cagoule, mets tout cela dans un sac, car il se peut que j'ai à m'en servir."

Ils sortirent de la maison, et pour la première fois Pierre put admirer les environs et apprécier la stature imposante de la résidence de sa Maîtresse.

Elle le conduisit au garage situé derrière, et le fit monter dans la voiture et prendre le volant. Elle s'installa derrière et lui dit, " suis mes instructions, je vais te dire ou aller."

Il conduisit la voiture , sur une bonne trentaine de milles et Madame lui indiquait la direction à suivre.

Ils arrivèrent devant un entrepôt, aux confins de la ville, dans un secteur abandonné , et Pierre gara la voiture dans un immense stationnement désert.

Madame Éloïse , sortit la première, contourna la voiture, et fit signe à Pierre de descendre.

Elle prit la laisse dans le sac, la fixa au cou de son esclave, et lui dit, " tu vas porter le sac , et marcher derrière moi. "

Sous la lueur des réverbères, ils traversèrent le stationnement de l'édifice, jusqu'au portail d'entrée.

Madame Éloïse sonna, et une jeune femme vint leur répondre.

" Est ce que je peux vous aider?" Leur demanda-t-elle.

" Je voudrais voir Monsieur Gilbert."

" Ho ! Le monsieur du troisième, oui je vois," répondit-elle en esquissant un sourire gèné aux deux femmes.

" Je crois qu'il vous attendait."

" Je le crois aussi."

Elle referma la porte, et les précéda jusqu'au troisième et s'arrêta devant une porte d'un des bureau. Elle frappa doucement, et une voix cria, "qu'est ce que c'est?"

" Vous avez des visiteurs monsieur."

" Un instant , j'arrive."

La porte s'ouvrit, et un homme de race noire les invita à entrer.

Dans la pièce qui faisait office de vestibule, il y avait plusieurs personnes assises qui attendaient , Pierre ne savait quoi. Il y avait entre autre deux filles, à l'habillement un peu bohême, et un couple de punk, vêtus de guenilles colorées.

Un paravent séparait le vestibule d'une autre pièce.

L'homme leur indiqua des chaises, et retourna derrière le paravent. Maîtresse Eloïse prit un siège, mais Pierre resta debout , enchaîné par sa laisse, que sa Maîtresse tenait à la main. Les gens les regardaient d'un air étonné , mais personne n fit la moindre remarque.

À tour de rôle, les personnes qui étaient arrivées avant eux, passèrent derrière le paravent.

Arriva enfin leur tour. Maîtresse se leva, et la jeune fille les escorta jusqu'à une pièce tout au fond de l'appartement.

L'homme noir discuta quelques instants avec Maîtresse Éloïse, et Madame se retira.

"Toi , couche toi sur le ventre sur la table, et ne bouge plus."Dit-il .

Pierre obéit et se coucha comme indiqué sur une table comme on en voit dans le bureaux de médecins.

L'homme revint et lui ordonna d'enlever sa jupe, puis il sortit d'une armoire, un appareil pour tatouer, et mit en marche l'engin. Un grondement inquiètant envahit la pièce.

Il demanda à son assistante de venir l'aider, et il commença à dessiner quelque chose sur la fesse droite de Pierre.

Il attendit quelques instants, discutant avec la femme, pendant qu'elle préparait des encres et nettoyait l'appareil.

" Allons -y ", lui dit-il.

Pierre sentit au début une vibration sur sa fesses, mais bientôt une douleur irradia sa fesses, c'était comme si on lui avait passer du papier sablé sur la peau.

Cela se poursuivit pendant presqu'une heure. de temps à autre son assistante essuyait le s a n g , et changeait les aiguilles du graveur.

Lorsqu'il eut terminé , il badigeonna le tatouage avec un tampon, afin de bien nettoyer la plaie. Puis il fit venir Maîtresse Éloïse , pour lui montrer les résultats.

Elle examina le dessin, et se montra satisfaite.

" Dans combien de jours est-ce que ce sera guéri?" Demanda-t-elle.

" Il faut attendre une quinzaine de jours , avant d'appliquer une autre couche de couleur, revenez , dans un mois, et je vais finir le travail."

" On s'en va, rhabille toi, et vas m'attendre dans l'entrée." Lui ordonna-t-elle.

Pierre ne se le fit pas dire deux fois, trop heureux de quitter cet endroit.

L'assistante les raccompagna, jusqu'à l'entrée principale, et Pierre suivit sa Maîtresse .

Cette fois , elle lui demanda de s'asseoir à l'arrière du véhicule , et elle prit le volant.

La douleur sur sa fesse persistait, et il se demandait ce que Maîtresse Éloïse avait bien pu lui faire tatouer .

La voiture roulait à vive allure, Maîtresse se dirigea vers le centre-ville.

Elle suivit une rue achalandée, et s'arrèta devant une boutique de sexe bien connue.

Ils sortirent de la voiture, et dit à Pierre, "attends moi sur le trottoir, je te ferais signe d'entrer.

Pierre aurait aimé disparaître sous le trottoir, tant sa position était embarassante . Vêtu comme une prostitué ,juché sur ses talons, avec cette ridicule perruque blonde sur la tête, et si seulement il n'y avait eu que cela, mais la laisse qui pendait à son cou, ses bracelets et le collier, l'humiliait bien davantage. Tous les passants se retournaient et le regardait en rigolant.

Il y eut même un homme qui s'approcha de lui, et qui demanda, "combien tu prends ma poulette , pour une heure?" Pierre bégaya quelques mots, et se mit à pleurer.

Mais sur les entrefaites, Maîtresse , sortit de la boutique, et lui demanda d'y entrer.

Une commis le conduisit , par un escalier, à l'étage supérieur, et lui enjoignit de s'asseoir.

Maîtresse vint les rejoindre, et toutes deux discutèrent , comme de vieilles amies.

" Viens içi Pierre, lui ordonna-t-elle, tournes-toi, et montre ton tatouage."

Son amie examina attentivement le dessin, et toucha la fesse de Pierre , pour voir si c'était bien sensible.

" Il en à pour deux bonnes semaines , avant que ce soit guéri. "

" Oui, c'est ce qu'il m'a dit." Répondit Maîtresse Éloïse. .

" Que puis-je faire pour toi Éloïse," lui demanda-t-elle.

Maîtresse s'approcha de l'oreille de son amie, et lui murmura quelque chose tout bas.

" Oui , je vois, j'ai ce qu'il te faut, suis moi. "

Elle revint , de l'arrière boutique, avec à la main , deux sacs, dont un très lourd, et un second plus petit.

" Combien pour le tout, "demanda-t-elle à la femme.

La commis prit la main de Maîtresse, et lui dit, " On discutera de prix une autre fois. Il est tard et je dois fermer, reviens me voir, et on s'entendra sur un prix, disons la semaine prochaine, ça te vas? "

"Oui , d'accord, la semaine prochaine.

Elle donna à Pierre la tâche de porter les sacs jusqu'à la voiture, et le fit à nouveau monter derrière , et elle retouna vers la maison.

Elle ordonna à Pierre de se coucher tout au fond de la voiture, pour la durée du trajet.

Il se déshabilla de lui même , devant sa Maîtresse, puis il entra dans sa cage , car il se faisait tard .

Elle referma la porte de la cage, ou il passa la nuit.

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